Sybille Farine et Christophe Bertsch sont enseignants chercheurs à l’université de Haute Alsace, ils possèdent 134 pieds de vignes qu’ils ont vendangé près de Colmar. Une micro parcelle de Riesling et de Gewurztraminer qu’ils bichonnent depuis deux ans. Ils en tirent 170 bouteilles.
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Viticulture : une nouvelle licence en deux parcours – sibylle farine – dna
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Plus tard, ils seront chef de culture, responsable d’exploitation viticole, chargé de marketing ou encore conseillère en viticulture-œnologie. Vingt jeunes inaugurent une nouvelle licence professionnelle axée sur le vin.
[Rencontres Viticoles d’Alsace] – Les maladies du bois, parlons-en !
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Cette année, les Journées techniques IFV – session viticulture, organisées par le pôle Alsace de l’IFV, font peau neuve et se transforment en
Rencontres Viticoles d’Alsace.
Et quoi de mieux pour commencer cette nouvelle édition que d’aborder le sujet des maladies du bois lors d’un webinaire ?
Les maladies du bois, parlons-en ! Comment identifier les causes et mettre en œuvre des moyens de lutte appropriés.
Nouvelle Licence Professionnelle par Sibylle Farine
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Au cours de cette visite, trois intervenants clés ont été interviewés : Sibylle Farine (Maître de Conférences à l’Université de Haute Alsace), Thierry Fritsch (Chargé de Missions au Conseil Interprofessionnel des Vins d’Alsace) et Augustin Reitzer-Mack (étudiant de cette nouvelle Licence Professionnelle). Ils ont partagé leurs perspectives sur cette initiative éducative et sur le secteur vitivinicole.
Christophe BERTSCH PRIX GUY OURISSON 2021
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– Enseignant chercheur à l’Université de Haute-Alsace, Professeur, classe exceptionnelle.
– Directeur du Laboratoire Vignes, Biotechnologies et Environnement (LVBE).
– Directeur du Laboratoire d’œnologie de l’université de Reims.
– Directeur de la Commission Technique du Vignoble Alsacien – CIVA.
– Viticulteur, Grotte Jean Geiler, Ingersheim.
la vigne de Pasteur avec le professeur Christophe BERTSCH
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Le 8 avril dernier à la fondation Del Duca à Paris, 150 bouteilles du domaine qui a appartenu à Louis Pasteur, ont été vendues aux enchères pour un montant de 25 000 euros. Ajoutée à une opération de financement participatif, cette somme doit permettre de replanter les 3000 pieds de vigne du domaine de la Rosière, mais surtout, de financer la recherche.
Précisions avec le professeur Christophe BERTSCH, directeur Laboratoire Vigne Biotechnologies et Environnement Université de Haute-Alsace.
« Faire du bon vin ne suffit plus » – Sibylle farine – dna
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Des domaines viticoles s’interrogent sur leur attractivité, celle qui attire le consommateur mais aussi une main-d’œuvre « intéressante ». Cette dernière exigerait davantage de son employeur : qu’il soit en en phase avec les enjeux environnementaux et sociaux, deux faces d’une seule et même pièce…